Ø A
défaut du pardon, laisse venir loubli. ( Alfred de Musset ).
Ø A
qui sait comprendre peu de mots suffisent.
Ø A
tout oiseau, son nid est beau.
Ø Accepter
lidée dune défaite, cest être vaincu. ( Maréchal Foch ).
Ø Affame
ton chien, il te suivra ; engraisse le, il te mangera.
Ø Aller
prouver que jai raison serait accorder que jai peut-être eu tort.
Ø "Ami" :
rien nest plus fréquent dans les discussions que ce mot ; et rien nest
plus rare que ce sentiment.
Ø Attache
dabord ton âne, recommande-le à Allah ensuite.
Ø Aucun chemin de fleurs ne conduit à la gloire. ( Jean de La
Fontaine ).
Ø Autant
de têtes, autant davis. ( Jean de La Fontaine ).
Ø Avant
davoir entendu les deux parties on ne saurait juger.
Ø Avant
de désirer fortement une chose, il faut examiner quel est le bonheur de celui qui la
possède.
Ø Ayez
une main de fer, dans un gant de velours.
Ø Bénie
soit la providence qui a donné a chacun un joujou : la poupée à lenfant,
lenfant à la femme, la femme à lhomme, et lhomme au diable. ( Victor
Hugo ).
Ø Cest
lorsque nous sommes éloignés de notre pays que nous sentons surtout linstinct qui
nous y attache. ( Chateaubriand ).
Ø Ce
que lhomme redoute le plus, cest ce qui lui convient. « Amiel Frédéric Henri ».
Ø Ce
que les hommes ont nommé amitié, nest souvent quune société, quun
ménagement réciproque dintérêts, et quun échange de bons offices ;
ce nest enfin quun commerce où lamour-propre se propose toujours
quelque chose à gagner.
Ø Ce
qui manque aux orateurs en profondeur, ils vous le donnent en longueur. (Montesquieu).
Ø Ce
sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit.
Ø Celui
qui croit pouvoir trouver en soi-même de quoi se passer de tout le monde se trompe
fort ; mais celui qui croit quon ne peut se passer de lui se trompe encore
davantage.
Ø Celui
qui désire et nagit point, engendre la pestilence.
Ø Celui
qui peut
, agit. Celui qui ne peut pas
, enseigne.
Ø Ceux
qui ne font rien ne se trompent jamais.
Ø Chaque
fois que le temps a fait croître un bâton, au bout du bâton lhomme a mis une
lance.
Ø Chaque
homme a trois caractères : celui quil a, celui quil montre, et celui
quil croit avoir. ( Alphonse Karr ).
Ø Chaque
minute écoulée est un pas vers la mort.
Ø Chez beaucoup d'hommes, la parole précède la pensée. Ils
savent seulement ce qu'ils pensent après avoir entendu ce qu'ils disent. (Gustave Le Bon).
Ø Comment
lhomme et la femme pourraient-ils se comprendre ? Car en fait tous deux souhaitent des choses
différentes : lhomme, la femme ; et la femme, lhomme. ( F. Karinthy ).
Ø Comment
prétendons-nous quun autre garde notre secret, si ne nous pouvons le garder
nous-mêmes ?
Ø Considère
celui qui te fait voir tes défauts comme sil te montrait un trésor. Attache-toi au
sage qui réprouve tes fautes. En vérité, cest un bien et non un mal de
fréquenter un tel homme. ( Bouddha ).
Ø Crois
et tu comprendras ; la foi précède, lintelligence suit.
Ø Dans
le noir toutes les couleurs saccordent.
Ø Dans
toutes les larmes sattarde un espoir. (Simone de Beauvoir).
Ø Dans
une grande âme tout est grand.
Ø De
leurs ennemis les sages apprennent bien des choses.
Ø Deux
choses déplaisent au sage : se taire lorsquil faut parler, et parler
lorsquil faut se taire.
Ø Dieu
fit la liberté, lhomme a fait lesclavage. ( Marie-Joseph Chénier ).
Ø Dis
au lourd frelon : « Au moins puisque tu ne produis pas de miel, ne pique pas!
».
Ø Du
sublime au ridicule il n y a quun pas. (
Napoléon 1er ).
Ø Ecoute
avec une extrême attention les vers que viennent te réciter les mauvais poètes. Tu les
trouveras tellement ennuyeux que tu renonceras à écrire, ou bien alors tu ne composeras
que des vers admirables.
Ø Ecouter
est une politesse quun homme desprit fait souvent à un sot mais que celui-ci
ne lui rend jamais. ( Adrien Decourcelle ).
Ø En
général, on ne demande de conseils que pour ne pas les suivre ou, si on les a suivis,
reprocher à quelquun de les avoir donnés. ( Alexandre Dumas ).
Ø En
littérature, le plus sûr moyen davoir raison, cest dêtre mort. (
Victor Hugo ).
Ø En
nationalité, cest tout comme en géologie la
chaleur est en bas ; aux couches inférieures, elle brûle. ( Jules Michelet ).
Ø Entre
deux maux, il faut choisir le moindre.
Ø Entre
tous les ennemis, le plus dangereux est celui dont on est lami. (Alphonse Karr).
Ø Etre
heureux, ce nest pas bon signe, cest que le malheur a manqué le coche, il
arrivera par le suivant.
Ø Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le
talent ; faire ce qui est impossible au talent , voilà le génie. ( Henri Frédéric
Amiel ).
Ø Fait
que chaque moment de ta vie soit beau, car le moindre geste est un souvenir futur.
Ø Frappe
la tête de la vipère avec le poing de ton ennemi : il en résultera nécessairement un bien pour toi, si ton ennemi
est vainqueur, la vipère sera tuée, sil est mordu, tu auras un ennemi de moins.
Ø Généralement,
les gens qui savent peu parlent beaucoup, et les gens qui savent beaucoup parlent peu. ( Jean-Jacques Rousseau ).
Ø Goutte
après goutte, on peut creuser la pierre, un seau deau ne ferait quenlever la
poussière.
Ø Heureux
est celui qui dort sans remords.
Ø Il
est bien plus sage de savoir quelque chose de tout, que de savoir tout dune chose.
Ø Il
est difficile de vaincre ses passions, et impossible de les satisfaire. ( Mme de la
Sablière ).
Ø Il est plus difficile d'être un honnête homme huit jours
qu'un héros un quart d'heure. (Jules Renard ).
Ø Il
est plus sage détudier les hommes que les livres.
Ø Il
faut agir en homme de pensée et penser en homme daction. ( Henri Bergson).
Ø Il
faut mettre ensemble la justice et la force, et pour cela faire que ce qui est juste soit
fort ou que ce qui est fort soit juste.
Ø Il
faut quune porte soit ouverte ou fermée. ( Alfred de Musset ).
Ø Il
nest pas difficile à un homme de faire quelques bonnes actions ; ce qui est
difficile , cest dagir bien toute sa vie, sans jamais rien faire de mal. (
Mao-Tsé-Toung).
Ø Il
nest pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Ø Il
ny a pas de serrure dont le crime nait la clef.
Ø Il
ny a que les pauvres de généreux. ( Honoré de Balzac ).
Ø Il
ne faut choisir pour épouse que la femme quon choisirait pour ami, si elle était
homme. ( Joseph Joubert ).
Ø Il ne faut jamais penser au bonheur ; cela attire le
diable, car c'est lui qui a inventé cette idée-là pour faire enrager le genre humain. (
Gustave Flaubert ).
Ø Il
ne faut pas juger un livre par sa couverture.
Ø Il
ne faut pas se moquer des chiens avant davoir quitté le village.
Ø Il
ne faut pas trop se hâter de juger les hommes, il faut leur faire crédit jusquà
avoir des preuves solides.
Ø Il
vaut mieux être maître de soit que maître dune ville.
Ø Il
vaut mieux ne pas réfléchir du tout que de ne pas réfléchir assez.
Ø Il y
a dans les hommes plus de choses à admirer que des choses à mépriser. (Albert Camus).
Ø Il y
a des faussetés déguisées qui représentent si bien la vérité que ce serait mal juger
que de ne sy pas laisser tromper.
Ø Il y
a des gens qui nont de leur fortune que la crainte de la perdre. ( Rivarol ).
Ø Il y
a des gens quon approuve dans le monde, qui nont pour seul mérite que les
vices qui servent au commerce de la vie.
Ø Il y
a des héros en mal comme en bien.
Ø Il y
a des hommes si intelligents quon se demande si quelque chose peut encore les
intéresser. ( Martin du Gard ).
Ø Il y
a des personnes à qui les défauts siéent bien, et dautres qui sont disgraciées
avec leurs bonnes qualités.
Ø Il y
a peu à choisir entre des pommes pourries. ( W. Shakespeare ).
Ø Il y
a une infinité de conduites qui paraissent ridicules, et dans les raisons cachées sont
très sages et très solides.
Ø Ils
se contentent de tuer le temps en attendant que le temps les tue.
Ø Jai
toujours vu que pour réussir dans le monde, il fallait avoir lair fou et être
sage. (Montesquieu).
Ø Jai
voulu faire du bien mais je lai mal fait.
Ø Je
me sers danimaux pour instruire les hommes.
( La Fontaine ).
Ø Je
nai vraiment limpression que je suis libre que lorsque je suis enfermé.
Lorsque je fais tourner la clef ce nest pas moi qui suis bouclé ce sont les autres
que jenferme. ( Sacha Guitry ).
Ø Je
sais, quand il le faut, quitter la peau du lion pour prendre celle du renard. (Napoléon 1er).
Ø Je
suis las des musées, cimetières des arts. ( Alphonse de Lamartine ).
Ø Je
veux quon soit sincère, et quen homme dhonneur, on ne lâche aucun mot
qui ne parte du cur. ( Molière ).
Ø Labsence
est aussi bien un remède à la haine quun appareil contre lamour.
(LaFontaine).
Ø Lamitié
prête son nom à un nombre infini de relations ; alors faudrait-il reconnaître la
vraie.
Ø Lamitié
sans confiance, cest une fleur sans parfum.
( Laure Conan).
Ø Lamour-propre
nous augmente ou nous diminue les bonnes qualités de nos amis à proportion de la
satisfaction que nous avons deux, et nous jugeons de leur mérite par la manière
dont ils vivent avec nous. (Rochefoucault)
Ø Lart
de plaire est lart de tromper. ( Vauvenargues ).
Ø Lart
dêtre tantôt très audacieux et tantôt, très prudent est lart de réussir. (Napoléon 1er ).
Ø Lavantage
du célibataire sur lhomme marié, cest quil peut toujours cesser de
lêtre sil trouve quil sest trompé. ( Alphonse Karr ).
Ø
Lenvie de parler de nous et de faire voir nos
défauts fait une grande partie de notre sincérité.
Ø Lespérance
est un emprunt fait au bonheur. ( Joseph Joubert ).
Ø
Lespérance, toute trompeuse quelle
est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable.
Ø
Lespoir est un bon petit déjeuner, mais
cest un méchant souper.
Ø
Lessentiel nest pas de vivre, mais de
bien vivre. ( Platon ).
Ø
Lhomme croit souvent se conduire
lorsquil est conduit ; et pendant que par son esprit il tend à un but, son
cur lentraîne insensiblement à un autre.
Ø
Lhomme le plus heureux est celui qui fait le
bonheur dun plus grand nombre dautres. ( Diderot ).
Ø
L'homme naît avec
ses vertus ; il acquiert ses vices.
Ø
Linjustice obéît à la loi de la pesanteur, elle
provient des hautes couches et tombe sur les basses.
Ø
Lintention de ne jamais tromper nous expose à
être souvent trompés.
Ø
Loccasion fait le larron.
Ø
Lun sélève par péché, lautre tombe
par vertu. ( W. Shakespeare ).
Ø
La botanique est lart de dessécher les plantes
entre des feuilles de papier buvard et de les injurier en grec et en latin. ( Alphonse
Karr ).
Ø
La calomnie est une guêpe qui vous importune et contre
laquelle il ne faut faire aucun mouvement, à moins quon ne soit sûr de la tuer,
sans quoi elle revient à la charge plus furieuse que jamais. ( Chamfort ).
Ø
La chose la plus importante à toute la vie est le choix
du métier : le hasard en dispose. ( Pascal ).
Ø
La connaissance conduit à lunité comme
lignorance mène à la diversité. (Râmakrishna).
Ø
La course ne revient pas aux plus rapides, ni la lutte
aux plus forts.
Ø
La critique est aisée, mais lart est difficile. (
Destouches ).
Ø
La culture cest ce qui demeure dans lhomme
lorsquil a tout oublié. (Emile Henriot).
Ø
La culture cest comme la confiture, moins on
en a, plus on étale.
Ø
La faiblesse est le seul défaut que lon ne saurait
corriger.
Ø
La fausse modestie consiste à se mettre sur le même
rang que les autres pour mieux montrer quon les dépasse. ( Sully Prudhomme ).
Ø La
félicité est dans le goût, et non pas dans les choses ; et cest par avoir ce
quon aime quon est heureux, et non pas par ce que les autres trouvent aimable.
Ø La
jalousie est en quelque sorte juste et raisonnable puisquelle ne tend quà
conserver un bien qui nous appartient ou que nous croyons nous appartenir, au lieu que
lenvie est une fureur qui ne peut souffrir le bien des autres.
Ø La
moitié dun ami, cest la moitié dun traître. ( Victor Hugo ).
Ø La
mort ne surprend point le sage : il est toujours prêt à partir. ( Jean de La
Fontaine).
Ø La
nature peut exister sans lhomme, mais pas lhomme sans la nature.
Ø La
nécessité nous délivre de lembarras du choix. ( Vauvenargues ).
Ø La
patience est une forme mineure de désespoir, déguisée en vertu.
Ø La
pensée fait la grandeur de lhomme.
Ø La perfection nest jamais dans les hommes, mais
parfois dans leurs intentions.
Ø La
pire des prisons serait celle dun cur fermé.
( J. P. II ).
Ø La
pitié est souvent un sentiment de nos propres maux dans les maux dautrui ;
cest une habile prévoyance des malheurs où nous pouvons tomber : nous donnons
du secours aux autres pour les engager à nous en donner en de semblables occasions ;
et ces services que nous leur rendons sont des biens que nous nous faisons à nous-mêmes
par avance.
Ø La plus belle chose que nous puissions éprouver, cest
le mystère des choses.
Ø La
plus grande lâcheté consiste à prouver sa puissance sur la faiblesse dautrui.
Ø La
plus perdue de toutes les journées est celle où lon na pas ri. ( Chamfort ).
Ø La
politesse est la forme la plus acceptable de lhypocrisie.
Ø La
politesse est la première et la plus engageante de toutes les vertus sociales. ( J. Locke
).
Ø La
qualité dune chose se révèle à lusage.
Ø La
sagesse est à lâme ce que la santé est pour le corps.
Ø La
sincérité du verbe nest vraie que si elle est suivie de celle du geste.
Ø La
solitude est à lesprit ce que la diète est au corps, mortelle lorsquelle est
trop longue, quoique nécessaire. (
Vauvenargues ).
Ø La
souffrance est lunique promesse que tient la vie.
Ø La
tolérance est la vertu du faible ( Marquis de Sade ).
Ø La
véritable gloire nest pas de ne jamais tombé, mais de pouvoir se relever à chaque
fois que lon tombe.
Ø La
vérité est toujours au fond du puits.
Ø La
vérité et les roses ont des épines.
Ø La
vérité subsiste éternellement.
Ø La
victoire suse par ses excès ; on ne réussit véritablement quà force
de patientes défaites.
Ø La
vie est faite dillusions ; parmi ces illusions, certaines réussissent. Ce sont
elles qui constituent la réalité.
Ø La
vie nest jamais aussi compliquée que se plaisent à limaginer les têtes
faibles. ( Aymé Marcel ).
Ø La
vieillesse est comparable à lascension dune montagne. Plus vous montez
plus vous êtes fatigué et vous perdez du souffle ; seulement votre vision
sest beaucoup élargie.
Ø Larmes ;
cest larme de la femme.
Ø Le
bien que nous avons reçu de quelquun veut que nous respections le mal quil
nous fait.
Ø
Le bon temps qu'on passe, n'efface pas les mauvais souvenirs...les cicatrices
ne bronzent pas au soleil.
Ø Le
cur dun homme détat doit être dans sa tête. ( Napoléon ).
Ø Le
courage, cest lart davoir peur sans que cela paraisse. ( Pierre Véron
).
Ø Le
genre de mort, pas plus que le genre de vie, ne doivent être considérés comme punition
ou récompense. La rémunération ne peut être de ce monde. ( Alfred de Vigny ).
Ø Le
langage peut se servir de nous quand nous pensons nous servir de lui. (Emmanuel Berl).
Ø Le
mal que fait un homme vit après lui, souvent ses bonnes actions vont dans la terre avec
ses os. ( William Shakespeare ).
Ø Le
mal quon dit dautrui ne produit que du mal. ( Nicolas Boileau ).
Ø Le
malheur na pas damis.
Ø Le malheur peut-être un pont vers le bonheur.
Ø Le
mariage est une greffe : ça prend bien ou mal. ( Victor Hugo ).
Ø Le
mépris est une pilule quon peut avaler mais quon ne peut mâcher. ( Molière
).
Ø Le
mot ne manque jamais quon possède lidée. ( Flaubert ).
Ø Le
peu que je sais cest à mon ignorance que je le dois. ( Sacha Guitry ).
Ø Le
plaisir est le bonheur des fous ; le bonheur est le plaisir des sages ( Barbey
dAurevilly ).
Ø Le
plaisir le plus délicat est de faire celui dautrui. ( Jean de la Bruyère ).
Ø Le
plus mauvais de tous, nest pas celui quon pense.
Ø Le
plus petit de tous, est celui qui se surélève en piétinant les autres.
Ø Le
plus sage est celui qui ne pense point lêtre.
Ø Le plus simple écolier sait maintenant des vérités pour
lesquelles Archimède eût sacrifié sa vie. (Ernest Renan).
Ø Le premier degré de la folie est de se croire sage, et le
second est de le proclamer.
Ø Le
savoir plein la tête et les diplômes plein la mallette ne sont pas la seule clef de la
réussite parfaite.
Ø Le
sentiment que lhomme supporte le plus difficilement est la pitié, surtout quand il
la mérite, la haine est un tonique, elle fait vivre, elle inspire la vengeance, mais la
pitié tue, elle affaiblit encore notre faiblesse.
Ø Le silence est la seule chose en or que les femmes
détestent. ( M. W. Little ).
Ø Le
silence est la vertu des sots.
Ø Le
soleil réussira mieux que le vent à vous faire ôter votre manteau : La douceur les
bonnes paroles influenceront plus vite les gens que toute la colère et tout le tapage du
monde.
Ø Le
temps est un grand maître, dit-on. Le malheur est quil tue ses élèves. ( Hector Berlioz ).
Ø Le
travail éloigne de nous trois grands maux :
Lennui, le vice,
et le besoin. ( Voltaire ).
Ø Le travail est partout et la souffrance partout :
seulement il y a des travaux stériles et des travaux féconds, des souffrances infâmes
et des souffrances glorieuses. (Félicité de La Mennais).
Ø Le véritable tombeau des morts est le cur des
vivants.
Ø Le
vrai bonheur coûte peu ; sil est cher, il nest pas dune bonne
espèce. ( F. R. Chateaubriand ).
Ø Le
vrai moyen de gagner beaucoup est de ne vouloir jamais trop gagner et de savoir perdre à
propos. ( Fénelon ).
Ø Les
absents ont toujours tort.
Ø Les
calomniateurs sont comme le feu qui noircit le bois vert, ne pouvant le brûler.
(Voltaire).
Ø Les
défauts de lâme sont comme les blessures du corps : quelque soin quon
prenne de les guérir, la cicatrice paraît toujours, et elles sont à tout moment en
danger de se rouvrir.
Ø Les
erreurs comme les pailles flottent à la surface ; celui qui veut chercher les perles
doit plonger en profondeur.
( J. Dryden ).
Ø Les
femmes ressemblent aux girouettes : elles se fixent quand elles se rouillent.
(Voltaire).
Ø Les
fonctionnaires sont un peu comme les livres dune bibliothèque : ce sont les
plus haut placés qui servent le moins. ( Georges Clemenceau ).
Ø Les
fous sont aux échecs les plus proches des rois. ( Mathurin Régnier ).
Ø Les
hommes qui parlent le moins, sont les plus vaillants. ( William Shakespeare ).
Ø Les plus beaux oiseaux sont les pires chanteurs.
Ø Les
soucis partagés sont à demi soulagés.
Ø L'homme a beau étendre le cercle de ses idées, sa lumière
n'est toujours qu'une étincelle promenée dans la nuit immense qui l'enveloppe. (Pierre Joseph Proudhon).
Ø Lorsque
tu hésiteras à prendre une décision, choisis le parti qui présentera le moins
dinconvénients.
Ø Malheurs
aux gens qui nont jamais tort ; ils nont jamais raison. (Charles de
Ligne).
Ø Mauvais
ouvrier, ne trouve jamais bon outil.
Ø Moins
on pense, plus on parle. ( Montesquieu ).
Ø Nétends pas tes jambes au-delà de ta couverture.
Ø Ne
crois pas que tu tes trompé de route, quand tu nes pas allé assez loin.
Ø Ne
faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas quon vous fît.
Ø Ne
jamais dire : « cest leur faute » ; cest toujours notre
faute.
Ø Ne
prononce pas en secret une parole que tu ne pourrais pas prononcer devant mille personne.
Ø Ne
révèle pas à ton ami tous les secrets que tu possèdes : sais-tu sil ne deviendra
pas un jour ton ennemi ? Ne cause pas à ton ennemi tout le mal que tu peux lui
faire : sais-tu sil ne deviendra pas un jour ton ami ? Ce secret que tu
désires tenir caché, ne le divulgue à personne, pas même à lami qui est digne
de ta confiance. Comment le premier venu ait plus de sollicitude pour ton secret que
toi-même ?
Ø Ni
lignorance nest défaut desprit, ni le savoir nest preuve de
génie. ( Luc de Clapiers Vauvenargues ).
Ø Nos
bonnes actions sont souvent plus troubles que nos péchés.
( A. Marcel ).
Ø Nous
avons plus de force que de volonté, et cest souvent pour nous excuser à
nous-mêmes que nous nous imaginons que les choses sont impossibles.
Ø Nous
avons tous assez de force pour supporter les maux dautrui. (Rochefoucauld).
Ø Nous
faisons quelquefois des conversations dune tristesse quil semble quil
n y ait plus quà nous enterrer. ( Mme de Sévigné ).
Ø Nous
gagnerons plus, si nous nous laissons voir tel que nous sommes, que d essayer
de paraître ce que nous ne sommes pas.
Ø Nous ne devons jamais rougir
de nos larmes. (Charles Dickens).
Ø Nous
ne sommes pas responsables de la manière dont nous sommes compris. (Georges Bernanos).
Ø Nous
nous persuadons souvent daimer les gens les plus puissants que nous, et néanmoins
cest lintérêt seul qui produit notre amitié. Nous ne nous donnons pas à
eux pour le bien que nous leur voulons faire, mais pour celui que nous en voulons
recevoir.
Ø Nous
promettons selon nos espérances, et nous tenons selon nos craintes.
Ø « Oui »
et « Non » sont les mots les plus courts et les plus faciles à prononcer et
ceux qui demandent le plus dexamen. ( Talleyrand ).
Ø On fait de la critique quand on ne peut pas faire de l'art,
de même qu'on se met mouchard quand on ne peut pas être soldat. (Gustave Flaubert).
Ø On
fait souvent vanité des passions même les plus criminelles ; mais lenvie est
une passion timide et honteuse que lon nose jamais avouer.
Ø On
mange pour vivre, on ne vît pas pour manger.
Ø On n'est pas heureux : notre bonheur, c'est le silence
du malheur. ( Jules Renard ).
Ø On
ne doit que la vérité aux absents.
Ø On ne jette des pierres, quà larbre fruitier.
Ø On
ne ment jamais autant quavant les élections, pendant la guerre et après la chasse.
( Georges Clemenceau ).
Ø On
ne peut jamais satisfaire tout le monde, alors autant se satisfaire soi-même.
Ø On
perd ce que lon tient quand on veut gagner tout. (Florian).
Ø On
peut dire de lhumeur des hommes, comme de la plupart des bâtiments, quelle a
diverses faces ; les unes agréables et les autres désagréables.
Ø On
peut tout acquérir dans la solitude, hormis du caractère. ( Stendhal ).
Ø On
promet beaucoup pour se dispenser de donner peu. (Vauvenargues ).
Ø On
rencontre sa destinée, souvent par des chemins quon prend pour léviter. (
Jean de La Fontaine ).
Ø On
renonce plus aisément à son intérêt quà son goût.
Ø On
reproche sévèrement à la vertu ses défauts, tandis quon est plein
dindulgence pour les qualités du vice.
Ø On
respecte un homme, qui se respecte lui-même.
Ø Où
il n y a point de maître, tout le monde est maître ; où tout le monde est maître,
tout le monde est esclave. (Jacques Bénigne Bossuet
).
Ø Pardonne
beaucoup aux autres ; à toi : rien.
Ø Parle
devant tes ennemis de telle sorte que tu naies pas à rougir de tes paroles,
sils deviennent amis.
Ø Plus
ça rate, plus on a de chances que ça marche.
Ø Plus
haute est la montagne et plus grande est la chute.
Ø Plus
une chose est difficile, Plus elle exige dart et de vertu. ( Aristote
).
Ø Pour
jouir de ce bonheur quon cherche tant et quon trouve si peu , la sagesse vaut
mieux que le génie, lestime que ladmiration, et les douceurs du sentiment que
le bruit de la renommée. ( DAlembert ).
Ø Pour
la fourmi, la rosée est une inondation.
Ø Pour
réussir dans le monde, retenez bien ces trois maximes : voir, cest
savoir ; vouloir, cest pouvoir ; oser, cest avoir. ( Alfred de
Musset ).
Ø Quest
ce quun adulte ? Un enfant
gonflé dâge.
Ø Quand
lor tombe du ciel, les malchanceux nauront pas de sac.
Ø Quand
la colère et la vengeance se marient, leur fille est la cruauté.
Ø Quand
mes amis sont borgnes je les regarde de profil. ( Joseph Joubert ).
Ø Quand
nos amis nous ont trompés, on ne doit que de lindifférence aux marques de leur
amitié, mais on doit toujours de la sensibilité à leurs malheurs.
Ø Quand
tout le monde est bossu, la belle taille devient la monstruosité. ( Balzac ).
Ø Quel
homme peut prévoir les conséquences de ses actes ?
(Simone de Beauvoir).
Ø Qui
craint de souffrir, il souffre déjà de ce quil craint. ( Montaigne ).
Ø Qui
porte une couronne pourrait un jour demander laumône.
Ø Qui
réfléchit à ses défauts leur trouve les correctifs quil faut.
Ø Qui rend le mal par le mal, ressemble à la bête sauvage
qui mord celui qui la mordue.
Ø Qui
se connaît, connaît aussi les autres ; car chaque homme porte la forme entière de
lhumaine condition. ( Montaigne ).
Ø Quiconque se sert de lépée, périra par
lépée.
Ø Quoique
les hommes se flattent de leurs grandes actions, elles ne sont pas souvent les effets
dun grand dessein, mais les effets du hasard.
Ø Rarement
le sommeil visite le chagrin ; quand il daigne la faire, cest un consolateur
tout puissant. (Shakespeare
).
Ø Retire-toi
dans toi, parais moins et sois plus. (Agrippa
dAubigné).
Ø Rien
nest bon, ni mauvais en soi, tout dépend de ce que lon en pense.
(Shakespeare).
Ø Rien
nest si dangereux quun ignorant ami ; mieux vaudrait un sage ennemi. (LaFontaine ).
Ø Rien
ne doit tant diminuer la satisfaction que nous avons de nous-mêmes que de voir que nous
désapprouvons dans un temps ce que nous approuvions dans un autre.
Ø Sil
fallait tenir compte des services rendus à la science, la grenouille occuperait la
première place.
Ø Savoir
ce que tout le monde sait, cest ne rien savoir. (Remy de Gourmont).
Ø Savoir
mal est pire quignorer. ( Casanova de Seingalt ).
Ø Savoir
par cur nest pas savoir : cest tenir ce quon a donné en
garde à sa mémoire. ( Montaigne ).
Ø Se
glorifier de ses ancêtres, cest chercher, dans les racines, des fruits que
lon devrait trouver dans les branches. ( Manon Rolland ).
Ø Si
javance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
(Henri de la Rochejaquelein ).
Ø
Si largent ne fait pas le bonheur
Rendez-le !. (
Jules Renard ).
Ø
Si nous navions point de défauts, nous ne
prendrions pas tant de plaisir à en remarquer dans les autres. ( La Rochefoucauld ).
Ø
Si nous résistons à nos passions, cest plus
par leur faiblesse que par notre force.
Ø
Si tu veux te consoler, pense à tous les maux dont
tu es exempt.
Ø
Si votre
cur est une rose, votre bouche dira des mots parfumés.
Ø
Souvent je me suis demandé quelle chose était le
plus facile à reconnaître : la profondeur de locéan ou la profondeur du
cur humain. ( Lautréamont ).
Ø
Souvent la peur dun mal nous conduit dans un
pire.
Ø
Tant quil y a une étincelle, il y a une
espérance de brasier.
Ø
Tel est pris qui croyait prendre.
Ø
Tout ce que tu as su ou vu nest ni ce que tu
as su, ni ce que tu as vu.
Ø
Tout contentement est bon ; le contentement
dans létude est mauvais ( Talmud ).
Ø
Tout vient à point à qui sait attendre.
Ø
Toute méchanceté vient de faiblesse. (
Jean-Jaques Rousseau ).
Ø
Toutes les choses ont leur mystère, et la poésie,
cest le mystère de toutes les choses. ( Frederico Garcia Lorca ).
Ø
Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un
bon ami. ( Voltaire ).
Ø
Travail persévérant peut faire dune barre
de fer une aiguille à broder.
Ø -
Tu as tort de mentir. Cest un vilain défaut, et cest inutile, car toujours
tout se sait.
- Oui, répond lautre, mais en gagne du temps.
( Jules Renard ).
Ø
Un arbre
suffirait à fabriquer des milliers dallumettes ;
une allumette suffirait
à détruire des milliers darbres !
Ø
Un cur soucieux déprime un homme, une parole
aimable le réconforte.
Ø
Un homme compétent, est un homme qui se trompe
selon les règles.
Ø
Un mot qui part droit au cur peut exprimer
autant de soulagement et de bien être quun acte grandiose de bienfaisance.
Ø
Un sabre bien affilé ne coupe pas la soie
molle ; en employant un doux langage, la prévenance et la bonté, tu peux conduire
un éléphant avec un cheveu.
Ø
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.
( Alphonse de Lamartine ).
Ø
Un sot trouve toujours un plus sot qui
ladmire.
Ø
Une chandelle ne perd rien de sa flamme en allumant
une autre chandelle ( James Keller ).
Ø
Une des choses qui fait que lon trouve si peu
de gens qui paraissent raisonnables et agréables dans la conversation, cest
quil n y a presque personne qui ne pense plutôt à ce quil veut dire
quà répondre précisément à ce quon lui dit, les plus habiles et les plus
complaisants se contentent de montrer seulement une mine attentive, au même temps que
lon voie dans leurs yeux et dans leur esprit un égarement pour ce quon leur
dit et une précipitation pour retourner à ce quils veulent dire, au lieu de
considérer que cest un mauvais moyen de plaire aux autres ou de les persuader que
de chercher si fort a se plaire à soi-même, et que bien écouter et bien répondre est
une des plus grandes perfections quon puisse avoir dans la conversation.
( Rochefoucauld ).
Ø
Une parole arrive à faner lespérance.
Ø
Une parole mal placée venue dun proche,
cause autant de mal quun coup de sabre venu dailleurs.
Ø
Une rose
dautomne est exquise plus quune autre.
Ø
Voulez-vous quon croie du bien de vous ? Nen dites pas.
Citations sentimentales |
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Ø
A chaque fois que je suis touché, cest ma plume qui saigne, composant des
refrains au rythme de ma douleur.
Ø Admirer
nest pas aimer.
Ø Aimer,
cest trouver sa richesse hors de soi.
Ø Amour
et les fleurs ne durent quun printemps. ( Pierre de Ronsard ).
Ø Cest
merveilleux dêtre aimé que pour ce quon est.
Ø Ce
nest pas celui qui est beau quon aime, mais celui quon aime qui est
beau.
Ø Comme
le soleil je nai pas pu te regarder en face.
Ø Deux
samusent, trois sembêtent.
Ø Il
est impossible daimer une seconde fois ce quon a véritablement cessé
daimer.
Ø Il
fallait faire des efforts pour cesser de la regarder.
Ø Il
nexiste quune sorte damour, mais il y en a mille différentes copies.
Ø Il
ny a point de passion où lamour de soi-même règne si puissamment que dans
lamour ; et on est toujours plus disposé à sacrifier le repos de ce
quon aime quà perdre le sien. « Rochefoucauld ».
Ø Il
y a des gens qui nauraient jamais été amoureux sils navaient jamais
entendu parler damour.
Ø Il
y a peu de femmes dont le mérite dure plus que la beauté.
Ø Jaimerai être une larme, pour naître dans tes yeux,
sillonner ta joue et venir mourir sur tes lèvres.
Ø Je
compare lamour à ce feu dont on sert pour se réchauffer et cuisiner des plats
très succulents ; mais il ne faut pas perdre de vue que celui ci peut nous causer
des blessures et des cicatrices que nous traînerons parfois tout au long de notre
existence
Ø Je
compare mon cur à une ruche dabeilles, dont il faut supporter les morsures
pour se faire goutter de ce délicieux miel.
Ø Je
fuis le bonheur pour quil ne se sauve pas.
Ø Je
voudrais être celle que jaime, pour être aimé autant que je laime.
Ø Labsence
diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies
et allume le feu. ( Rochefoucauld ).
Ø Lamour
aussi bien que le feu, ne peut subsister sans un mouvement continuel, et il cesse de vivre
dés quil cesse despérer ou de craindre.
Ø Lamour,
cest être toujours inquiet de lautre.
Ø Lamour
est un je ne sais quoi, qui surgit je ne sais doù, vient je ne sais comment, et
fait mal je ne sais pourquoi. ( Luis Vaz de Camoens).
Ø Lamour est le seul rêve qui ne se rêve pas. (Paul
Fort).
Ø Lamour
et lamitié sexcluent lun lautre. ( Jean de La Bruyère ).
Ø Lamour
ne va pas sans lestime. ( Alexandre Dumas fils ).
Ø Lapproche
est toujours plus belle que larrivée.
Ø Lart
ne fait que des vers, seul le cur est poète.
Ø Lenfer ;
cest lamour à sens unique.
Ø La
jalousie naît toujours avec lamour, mais elle ne meurt pas toujours avec lui.
Ø La
nuit entoure ton jardin, tu es assis sous ton arbre préféré, tu te désole dêtre là solitaire, méconnu, alors que tu
pourrais accomplir de grandes choses, ou simplement, rendre heureuse une femme. Regarde
ces fleurs de jasmin qui étoilent le feuillage de ton arbre et accepte la leçon
quelles te donnent.
Ø La plus belle des femmes peut ne pas te plaire si tu ne
laimes pas ; par contre celle que
tu aimes est à tes yeux la plus exquise de toutes les créatures !.
Ø La
timidité des femmes est un fard quelles ajoutent à leur beauté.
Ø L'amour tue l'intelligence. Le cerveau fait sablier avec le
cur. L'un ne se remplit que pour vider l'autre.
Ø Le
cur a ses raisons, que la raison ne connaît point.
( Pascal ).
Ø Le
cur est la cage du secret damour. Une fois parti, loiseau ne revient
plus dans sa cage.
Ø Le
cur na pas de rides.
Ø Le couple heureux qui se reconnaît dans l'amour défie
l'univers et le temps ; il se suffit, il réalise l'absolu. (Simone de
Beauvoir).
Ø Le
départ de lêtre aimé ; nous incite à prendre ce poison qui sappelle
loubli.
Ø Le
désir de plaire naît chez les femmes avant le besoin daimer. (Ninon de Lenclos)
Ø Le
malheur, cest dêtre seul ; la joie, dêtre deux et la peur
dêtre trois.
Ø Le
pouvoir que les personnes que nous aimons ont sur nous est presque toujours plus grand que
celui que nous y avons nous-mêmes.
Ø Les
affections profondes ressemblent aux honnêtes femmes ; elles ont peur dêtre
découvertes, elles passent les yeux baissés.
Ø Les
larmes de la femme moisissent le cur de lhomme.
Ø Les larmes prouvent leur amour, elles napportent pas
leur remède. (William Shakespeare).
Ø Lorsque
tu contemples une belle jeune fille, enivre-toi de tes désirs, et réfléchis, ensuite,
à ce quon souffre quand on aime.
Ø Méfiez-vous
des beaux parleurs.
Ø Meilleur,
est le langage des yeux.
Ø Misérable
est lamour qui peut se mesurer.
Ø Mon Dieu ; donnez-moi une femme dune beauté
intérieure et que son extérieur soit en harmonie avec lintérieur.
Ø Nous avons eu besoin lun de lautre, nous ne nous
sommes plus quittés, nos vies se sont entremêlées, et cest ainsi que lamour
est né. ( Vincent Van Gogh ).
Ø On
dit quon aime la solitude, mais cest faux, on aime la solitude à partir du
moment où lon préfère être seul que mal accompagné.
Ø On
pardonne tant que lon aime.
Ø Pourquoi
na-t-on pas le droit daimer à dix ans, alors quon a le droit de mourir
à tout âge ?
Ø Quand
lamour parle, il est le maître. ( Marivaux ).
Ø Quand
on a le cur encore agité par les restes dune passion, on est plus prés
den prendre une nouvelle que quand on est parfaitement guéri.
Ø Savoir
aimer, ce nest pas aimer. Aimer, cest ne pas savoir.
Ø Seules
les femmes qui mont aimé peuvent savoir à quel point je suis cruel.
Ø Si
les curs était clairs, le monde serait clair.
Ø Tant
que la confiance na pas été trahie, il est possible de pardonner.
Ø Toujours
à ses cotés, et pourtant solitaire.
Ø Tout
le monde en parle de la beauté, mais peu sont ceux qui connaissent sa vraie définition.
Apres avoir lu toutes ces citations, veuillez SVP m'ecrire
en me disant la quelle vous a le plus plu !! car certaines sont de moi....
Merci de votre patience ...
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